Le Conseil national des droits de l'homme (CNDH) salue la décision du président Abdel Fattah El-Sisi de libérer un certain nombre de militants contre lesquels des décisions de justice ont été rendues, notamment le chercheur universitaire Patrick Zaki et l'avocat des droits de l'homme Mohamed El-Baqer, selon le pouvoirs accordés au Président de la République conformément à la Constitution. CNDH apprécie cette démarche, qui confirme la détermination des dirigeants politiques à aller de l'avant avec l'avancement de la situation des droits de l'homme dans le pays et à surmonter les nombreux défis stipulés par le CNDH, notamment la question de la détention provisoire et l'importance de préparer la société égyptienne à plus d'ouverture politique et approfondir la liberté d'opinion et d'expression et une culture de droits de l'homme.
Le parcours des libérations successives de militants, qu'ils soient condamnés ou en détention provisoire, confirme qu'il existe une réelle volonté d'ouvrir une nouvelle page avec toutes les forces politiques qui se traduisent par un véritable dialogue et ouvrent la voie à un essor de la travail en faveur des droits de l'homme fondé sur le respect de la liberté d'opinion et de tous les droits civils et politiques de tous les citoyens.
CNDH avait suivi par le biais du système de plaintes le cas de Patrick Zaki et Al-Baqer. CNDH a également adressé des demandes au Comité de grâce présidentielle pour leur accorder leur grâce ainsi qu'à d'autres détenus. Dans ce contexte, CNDH a salué la coopération avec le Comité et les résultats positifs de cette coopération, qui est une indication claire du succès des mécanismes nationaux à mettre fin aux conditions de détention.
Le Conseil national des droits de l'homme (CNDH) salue la décision du président Abdel Fattah El-Sisi de libérer un certain nombre de militants contre lesquels des décisions de justice ont été rendues, notamment le chercheur universitaire Patrick Zaki et l'avocat des droits de l'homme Mohamed El-Baqer, selon le pouvoirs accordés au Président de la République conformément à la Constitution. CNDH apprécie cette démarche, qui confirme la détermination des dirigeants politiques à aller de l'avant avec l'avancement de la situation des droits de l'homme dans le pays et à surmonter les nombreux défis stipulés par le CNDH, notamment la question de la détention provisoire et l'importance de préparer la société égyptienne à plus d'ouverture politique et approfondir la liberté d'opinion et d'expression et une culture de droits de l'homme.
Le parcours des libérations successives de militants, qu'ils soient condamnés ou en détention provisoire, confirme qu'il existe une réelle volonté d'ouvrir une nouvelle page avec toutes les forces politiques qui se traduisent par un véritable dialogue et ouvrent la voie à un essor de la travail en faveur des droits de l'homme fondé sur le respect de la liberté d'opinion et de tous les droits civils et politiques de tous les citoyens.
CNDH avait suivi par le biais du système de plaintes le cas de Patrick Zaki et Al-Baqer. CNDH a également adressé des demandes au Comité de grâce présidentielle pour leur accorder leur grâce ainsi qu'à d'autres détenus. Dans ce contexte, CNDH a salué la coopération avec le Comité et les résultats positifs de cette coopération, qui est une indication claire du succès des mécanismes nationaux à mettre fin aux conditions de détention.